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Je suis né dans une société créée par mes ancêtres et entretenue par mes semblables, un monde conçu et matérialisé à l'échelle de l'humanité.Étant enfant le monde me paraissait simple, paisible et unique.C'était certainement dû à un moyen assez rassurant de montrer une société parfaite et sans égard à nos enfants.Hélas c'est en murissant que je me suis rendu compte de nombreuses choses, notamment de la composition de la vie qui m’attendait, école, travaille, enfant, et retraite. La vie n'était rien d'autre qu'une adaptation aux exigences de la société afin d'y bénéficier de sa sécurité et de son confort.Autrefois la nature était mère de nos besoin, d'ailleurs la plupart des espèces qui la compose proviennent de ses entrailles et y restes tout au long de leur existence.Excepté notre espèce, nous avons quitté notre berceau et nous nous sommes développés selon nos règles, nos objectifs et nos convictions. Nous avons battit des empires, des royaumes et des sociétés, multiplié notre population, instruits nos civilisations et nous sommes devenus maître de la survis.Mais c'est également avec l'expérience que nos convictions morales ce sont conçu.Effectivement, chaque expérience vécu durant notre évolution de toute les manière qu'elle puisse n'y paraître sont bénéfique à notre développement, d'après le principe d'incertitude d'Heisenberg, tous ce que l'on étudie change et de la découle la clé de l'accroissement de la rationalité de chacun d'entre nous bien sur.Puisque c'est en remettant en cause constamment notre façon de pensé, qui me semble nécessaires pour avancé, de ce faite la prise de recul s'avère être primordiale afin de s'ouvrir en monde, d'élargir ses connaissance, et savoir où nous diriger.Mûrir au sein de notre quotidien, mais aussi quitté notre élément pour nous permettre de trouvé les anomalie de notre environnement qui nous proscrit de cette ouverture d'esprit.D'après mon expérience en Finlande, je me suis aperçu que la clé de la moralité n'étais pas dans le fait d'avoir mais plus tôt dans le fais d'être.Puisque c'est en étant le guide de notre vie que nous sommes le maître de nos choix, or adopter une façon de pensé collective et de ne prendre aucune responsabilité personnel selon des sujets quelconques, nous proscrit d'avoir une personnalité, c'est donc en étant que nous avons, mais c'est en revanche, en tentant d'avoir que nous n'existons plus.Pour beaucoup la famille compte énormément au sein de leur vie, partagé des valeurs et des principe de vie puis adopter une adhérence aux convictions socio-politiques, et religieuses pour certains, sans remettre en cause les croyances de leurs parents, mais en revanche en les appliquant mécaniquement, tel est l'honneur de garantir un respect à ceux qui nous ont donné la vie.Or ces semblable partage uniquement un lien de sang, et nous nous basons là sur un point de vue biologique, pourtant bon nombre de personnes tente de quitter notre place animale et de se fier à la philosophie plutôt qu'à la biologie.Donc selon moi le fait de respecter une personne uniquement par ce lien de sang me parait hypocrite, le fait d’éprouver une compassion envers ses proches ne s'agit pas d'un lien sanguin, mes plutôt de sentiments.
Pourquoi exprimer une plus grande compassion pour un oncle éloigner que l'on vois une fois par ans d'ailleurs qu'à un amis très proche, complice, que l'on perçoit comme un frère.Les parents sont uniquement des géniteurs biologiques, le fait d’éprouver un certain amour à leurs égards dépend uniquement des expériences et des liens que nous avions développés avec eux.