L'INFLUENÇABILITÉ - WEBSITE X5 UNREGISTERED VERSION - DOC.HELSON

  Être influençable  

La vie n’a en réalité aucun but. Le fait de vivre serait uniquement lié au but que l’on se donne. Le sens de la vie prendrait forme selon nos souhaits ainsi que nos fantasmes. Nous sommes le résultat de la cause à effet, d’évolutions puis de mutations bio-organiques. Il n’existe pas qu’une seule philosophie de vie, puisque chacun en possède une selon des convictions personnelles bien définies. Les Hommes vivent parce qu’ils ont été engendrés. Ils sont à l’origine uniquement le résultat d’un accouplement. En d’autres termes, ils n’ont pas de but fondamental dans une communauté dirigée par des ordres imaginaires. Un Homme ne peut être né pour guider les autres ou pour être guidé.Il devient un guide selon la personnalité qu’il se forge et devient un esclave selon les circonstances qui l’amène à une telle situation. Les expériences de vie influent sur le développement psychologique d’une personne. De l’enfance à l’état adulte, elles seront d’un impact considérable sur le développement de la personnalité de l’individu. Nous sommes influencés tout au long de notre vie, certes à une échelle inférieure qu’au stade de l’enfance ou de l’adolescence, mais nous restons influençables. À notre jeune âge, nous sommes des plus naïfs. Nous nous construisons, nous cherchons, trouvons à quels partis politiques adhérer, qu’elles convictions religieuses adopter et enfin qu’elles philosophies de vie choisir. Tout cela en prenant en compte notre propre satisfaction, puis celle de notre entourage, et enfin celle des autres habitants de la terre, pour ceux qui sont résolument tournés vers autrui ! Tout au long de notre vie, dès que nous avons mis le pied sur terre, nous allons rencontrer des personnes. Ces individus vont sans le vouloir être un pont de notre développement personnel. Tout comme vous allez l’être pour autrui, en fonction des rencontres que vous allez effectuer durant votre existence.

Cet ouvrage nous permet de mettre le doigt sur les causes et conséquences des actions de chacun à travers le temps. Mais aussi à travers les générations, de par la transmission des gènes. Notamment à propos du talent qui se transmettrait de façon héréditaire. Du moins, c’est ce que jadis nous pensions. Puisqu’au fil du temps la science a dissocié gènes et expériences. En d’autres termes, nous pensions que le fait qu’un individu soit talentueux dans un domaine, quel qu’il soit (intellectuel ou physique) comme le sport par exemple, alors son talent était d’une partie le fruit de ses gènes et de l’autre de son expérience. Cependant, avec l’avancée scientifique nous nous sommes rendu compte que les deux sphères, les gènes et l’expérience ne sont pas dissociés. Effectivement, ces deux parties interagissent entre elles ce qui engendre ainsi le talent d’une personne. Les gènes vont déterminer comment nous réagissons aux expériences de vie, puis les expériences de vie vont déterminer ce que l’on va devenir. Nous ne sommes ni plus ni moins que l’émergence de multiples facteurs qui interagissent.D’ailleurs, l’idée du livre repose majoritairement sur la compréhension de notre espèce par la biologie.

Pour ma part, le fait de prendre comme référence de réflexion la biologie nous permet de nous apporter un autre axe de réflexion à l’égard de l’Homme ainsi que de ses comportements au sein d’une communauté. Ce neurobiologiste met également le point sur la dépendance et du fait que nous sommes dans l’incapacité de nous en débarrasser. Bien entendu, dans dépendance j’entends nos besoins vitaux, tels que l’eau ; la nourriture... Nous savons que l’Homme a conçu puis matérialisé le monde. Non seulement à son échelle, mais aussi afin de subvenir à ses besoins indispensables dans l’objectif de devenir plus libre au sujet de ses désirs intrinsèques. Nous observons que les besoins des Hommes reflètent dans nos priorités politiques. Comparable à la quête du plaisir et du bonheur.

 

Un progressiste va constamment rechercher un nouveau stimulus. Si nous prenons l’exemple du matérialiste, ce dernier va tenter de se satisfaire en accumulant des biens autres qu’intellectuels, puisque son organisme seul ne pourra pas subvenir à son ou ses plaisirs. À l’opposé de celui qui cherche le bonheur interne, qu’il obtiendra par la voie spirituelle. Atteignable par de multiples activités telles que le yoga ; la méditation...

 

Dans une société stable, le matérialiste présentera une stabilité psychologique et à l’inverse en cas d’instabilité de la société, il ne pourra se stabiliser à cause de sa dépendance à l’environnement précédemment évoqué. Certains fonctionnent au bonheur et d’autres au plaisir. Pourtant les deux sont recommandés. Si le gouvernement d’une société est uniquement matérialiste, du moins ses priorités politiques sont dirigées vers cela,alors des instabilités gouvernementales telles que des crises financières ou autres situations dépassant les gouverneurs engendreront de réelles et malheureuses conséquences. D’ailleurs, l'histoire a pu nous le démontrer à de multiples reprises.

Pourtant lorsque le même putois empaillé contenait un magnétophone diffusant l’enregistrement du “tchip-tchip”, qui n’est ni plus ni moins que le cri émis par les petits de la dinde, non seulement elle accepte la venue du putois, mais l’accueil également sous son aile. Cependant si nous arrêtons la diffusion du magnétophone, le faux putois déclenchait de nouveau une violente attaque de la dinde ». On observe ainsi deux choses ! Dans un premier temps, nous pouvons observer que les autres espèces animales possèdent un langage unique. Dans un second temps, ce langage s’avère être d’une grande influence dans leur rapport à l’altérité.

  Effet de contraste  

L’effet de contraste est également mentionné dans cet ouvrage : « Lorsque nous trempons nos mains dans deux seaux différents, une main dans un seau rempli d’eau chaude, l’autre main dans un seau rempli d’eau froide. Puis que nous prenons un seau rempli d’eau à température ambiante, afin d’y tremper nos mains. La main trempée auparavant dans l’eau froide sentira l’eau comme étant chaude, tandis que la main trempée auparavant dans l’eau chaude la sentira comme froide. Cela montre que le même objet ici, l’eau à température ambiante, peut-être perçue de façon très différente suivant la nature de l’évènement qui précède. Ainsi l’arme fournit par le principe de contraste, ne manque pas d’être exploitée. Nous pouvons d’ailleurs l’observer par un jeu d’image dans les publicités télévisées. Des études réalisées sur le principe de contraste aux universités d’Arizona et du Montana, nous montrent que les images très séduisantes dont nous bombardent les médias, nous rendent plus exigeants à l’égard du physique de nos propres partenaires de vie ».

 

  Loi de la réciprocité  

Robert Cialdini met en relief la notion de réciprocité que peuvent employer les vendeurs. Pour prendre l’exemple d’un vendeur de fleurs à la sauvette :« Le passant sans méfiance se retrouve avec une fleur à la main. On ne lui permet en aucun cas de refuser, même s’il affirme qu’il n’en veut pas. Celui qui le donne affirme le fait qu’il s’agit d’un cadeau, et ne veut pas le reprendre. Après coup, vous vous sentez redevable, et ça peut être une réaction normale, puisqu’il s’agit là de la loi de la réciprocité. En d’autres termes, il va solliciter une contribution en faveur de son mouvement ».

 

D’après un témoignage d’une des étudiantes de Robert Cialdini, il s’avérerait qu’un jour, elle n’arrivait pas à faire démarrer sa voiture. « Un type qui passait par là a vu sa détresse. Puis est venu l’aider. Il a d’ailleurs réussi à refaire partir le moteur. Elle l’a ainsi remercié, auquel il répondit de rien. Mais avant de s’en aller, elle lui a affirmé que le jour où il aurait un service à demander, il ne faudrait pas qu’il hésite. Un mois plus tard, il est venu frapper à sa porte pour lui demander, si elle pouvait lui prêter sa voiture pendant deux heures, parce que la sienne était en réparation. De ce fait, elle s’est sentie obligée, et un peu à contrecœur elle accepta, sachant que sa voiture était neuve, puis qu’il avait l’air assez jeune. Par la suite elle a découvert qu’il n’avait pas le permis de conduire, puis qu’il n’était pas non plus assuré. Et il lui a rendu sa voiture complètement démolie. Oui, je vous l’accorde il s’agit bien là d’un souvenir qui n’est pas des plus agréable en ce qui la concerne. Ce qui nous amène au questionnement suivant. Comment se fait-il qu’une jeune femme accepte de prêter sa voiture neuve à un adolescent, qu’elle ne connait pratiquement pas d’ailleurs ? La réponse est assez simple, il s’agit tout simplement du petit service qui lui avait rendu, le mois précédent. La raison est aussi expliquée par le fait que la reconnaissance est un sentiment désagréable. C’est comme si nous nous sentons redevables, comme si nous avions une sorte de dette ». Au sein de notre société actuelle, si un individu qui viole la règle de la réciprocité en acceptant les présents d’autrui sans essayer de rendre la pareille sera mal vu par le groupe social.

Alors que la requête était très naturellement rejetée par la grande majorité (quatre-vingt-trois pour cent) des autres habitants du quartier, ce groupe particulier de gens réagit très favorablement. Soixante-seize pour cent d’entre eux acceptèrent de prêter leur pelouse. La raison principale de cette étonnante bonne volonté se trouve dans quelque chose qui leur était arrivé quinze jours auparavant : ils s’étaient engagés dans une petite action en faveur de la sécurité sur les routes. Un autre “bénévole” s’était présenté chez eux et leur avait demandé d’accepter d’apposer une petite pancarte (20 cm²) avec l’inscription “Soyez bon conducteur”. La requête était si minime que presque tous ces habitants avaient accepté. Mais les effets de cette acceptation furent énormes. Parce qu’ils avaient accepté, en toute innocence, une requête minime en faveur de la sécurité routière quelques jours auparavant, ces habitants devinrent tout à fait disposés à en accepter une bien plus importante. Nous pouvons aller bien plus loin avec la tactique du pied dans la porte, notamment en ce qui concerne l’investissement personnel des individus dans une cause à laquelle, ils ont été familiarisés, et en ce qui concerne l’histoire de la sécurité routière, les chercheurs ont réussi à les faire adhérer à une sorte de compétition, ce qui explique le fait que les personnes s’engageaient d’eux-mêmes lorsqu’ils se considéraient désormais comme des citoyens soucieux de l’intérêt général ».

  L’écriture  

Écrire joue également un rôle fondamental. En effet, lorsque nous avons un objectif il est conseillé de l’écrire afin de s’engager dans sa réalisation. De ce fait, nous aurions beaucoup plus de chance de l’atteindre. Plusieurs sociétés utilisent cette méthode d’influence, et ce dans le monde entier.Ausein de la société, nous pouvons observer qu’un objectif, un statut ou une simple reconnaissance acquise de manière complexe de la part d’un individu ne tolérera pas le fait qu’un autre individu atteigne le même stade sans subir les mêmes souffrances. Nous pouvons l’observer sur les compétences d’une personne qui seront remisesen cause, dès lors que le diplôme sera absent par un être ayant été diplômé pour avoir la même reconnaissance. Malheureusement, tant que les individus attacheront plus de prix à ce qu’ils ont eu du mal à obtenir, ces sociétés continueront à organiser des rites d’initiation difficiles et pénibles.

  L'effet mouton  

« Il y a des investissements personnels contagieux, notamment dans le cas d’un homme qui ferait un malaise au milieu d’une allé d’un centre commercial, si un passant se dirige directement vers lui une fois qu’il est tombé à terre, d’autres personnesaux alentour, viendraient aussi de manière immédiate. Pour autant si personne n’intervient, le temps d’attente avant qu’un quelconque passant vienne secourir l’individu ayant fait le malaise serait beaucoup plus long. »

Dans le domaine professionnel, la publicité joue un rôle décisif dans notre façon de consommer. En effet, elle peut être d’une grande influence. L’exemple type est la voiture avec une jolie femme à côté afin d’apporter du succès à un produit de vente, en l’occurrence à la voiture. Il est intéressant de constater que lorsque la voiture est seule sur un magazine, ou une photographie le véhicule aura beaucoup moins de succès que si la femme était présente. Puisque lorsqu’un être étant attiré par les femmes voudra changer de voiture, inconsciemment il sera plus attiré par la photographie où la femme est à côté de la voiture que par la photographie avec le véhicule seul. Pourtant il s’agira de la même voiture. Mais pas pour notre inconscient. Ce que l’on rajoute à côté de l’objet qui est destiné à la vente va influencer le choix du futur acheteur.

« Dans le commerce, beaucoup de stratagèmes d’influence et de manipulation existent également. Pour un vendeur, il est important de prendre en compte l’identité de ses futurs acheteurs afin de garantir sa vente. Effectivement, si l’éventuel acheteur s’identifie au produit eh bien il sera plus en mesure de l’acheter. Ça peut être le cas si le produit de vente est en lien avec, le sexe de l’individu, lié à sa propre culture, sa propre localité, ou ses croyances comme religieuses par exemple. »

 

 

  La censure  

L’interdiction pourraitqu’enivrer le désire de désobéissance. Prenons l’exemple d’une mère interdisant son enfant de reprendre des frites. L’enfant pourtant en voudrait énormément puisqu’il y a naissance de rareté, les frites étant associé à un produit rare donc suscitant désir d’avoir.Pourtant si la mère dit à son enfant de prendre toutes les frites qu’il souhaite, les frites perdront leur statut de rareté et peut-être que l’enfant en prendra qu’un tout petit peu, voire se contentera de son premier service contrairement à sa volonté qui serait présente lors d’une éventuelle interdiction.

  L’influence du diplôme  

Bon nombre d’individus possèdent des idées bien arrêtées en ce qui concerne des sujets où il y a un manque considérable de connaissance. D’ailleurs, il s’agit de l’effet Dunning Kruger. Des personnes vont émettre un jugement trop précipité à l’égard d’un individu ou encore sur ce qui est bien ou mal. Mais qu’est-ce que le bien et le mal finalement ? Si nous ne prenons pas en compte tous les points de vue qui sont nécessaires pour effectuer un jugement correct, et si nous ne choisissons pas non plus au préalable des critères indispensables dans le choix d’une décision autant collective qu’individuelle au nom du bien commun. Comment pouvons-nous donner un sens à la vérité ?

À quelle autre origine pourrions-nous nous appuyer et faire confiance ? À la parole divine ? À l’argument scientifique ? Et pourtant une telle réaction reviendrait à fermer les yeux sur notre propre rapport à la philosophie. Puisque nous n’allons pas prendre la peine de remettre en cause la pensée religieuse, ou de chercheurs sous prétexte que leurs statuts sont synonymes de savoir absolu.

 

Pourtant, la science nous donne uniquement une image de la vie accompagnée de connaissances que nous ne pouvons pas définir comme pure réalité. Effectivement, elle ne nous dit pas comment les exploiter et quelles sont les priorités qui sont à sélectionner pour notre avenir. Contrairement à la philosophie et l’éthique qui permettent de se poser les bonnes questions, et ce selon des convictions propres à chacun. Mais encore une fois, les choix effectués pour notre survie ne sont pas toujours en lien avec nos pensées. Ainsi, pour de telles décisions il ne faut pas réfléchir en tant que professionnel, puisque qu’auquel cas vous serrez mépriser ainsi que rabaisser à votre statut, mais plutôt en tant que citoyen du monde. Pour la majorité des êtres, et cela me terrifient, ces études issues de recherches scientifiques, de savants, de personnes, disons diplômées sont considérées comme des personnes ayant le savoir absolu. Contrairement à la majorité de la population, pauvres exécutants, pauvres ouvriers étant rabaissés à leurs statuts professionnels dont ces individus ne pourraient valoir plus que leur simple métier. Il s’agit pourtant là d’une penséedépassée. Le fait de rabaisser un Homme uniquement au statut professionnel qu’il occupe en déconstruisant sa personne et non son propos lors d’un débat, revient d’une part à sombrer dans l’argument ainsi que l’attaque adhominem, qui selon moi ne vaut rien. D’autre part, il s’agit là d’un comportement relativement puéril qui consiste uniquement à classer des personnes dans des cases. De ce fait, nous en venons au prochain sujet qui est lié à l’influence des statuts professionnels. Un repère d’influence mal choisi, croyant beaucoup plus en les capacités intellectuelles d’un individu que professionnel lorsqu’il s’agit de responsabilité citoyenne et mondiale. Pour revenir au fameux argument scientifique, le savant, tout comme d’autres professionnels peuvent se tromper dans leurs recherches ainsi que sur ses calculs. C’est pourquoi la vérité se résumerait plus à l’interaction des statistiques, des résultats de recherches scientifiques puis aux multiples analyses philosophiques.

Pour ma part, je perçois le scientifique comme un être émettant des théories et réalisant des activités à but expérimentales dans la mesure du possible, ce qui a pour but de confirmer ou non ses hypothèses. De plus, le scientifique n’est pas forcement défini en tant que tel par la simple obtention d’un diplôme, contrairement à l’idée qui est partagée par de nombreuses personnes. Il aura certes un niveau ainsi que des connaissances requises en lien avec le domaine choisi.Mais être scientifique c’est avant tout être une personne qui pratique une science, qui réalise des expériences et les analyses afin de conclure sur la véracité des théories préalablement supposées.Le scientifique doit aussi mettre en lien ses idées et recherches avec celles des autres. Tout comme le philosophe, il va travailler avec certains scientifiques afin de confirmer sa ou ses théories. Qui plus est, le scientifique va non seulement émettre sa théorie selon une thématique bien précise, auquel cas il va émettre des hypothèses, faire des recherches et les comparer avec celles des autres scientifiques.Pratiquer une activité de façon régulière et acquérir des connaisses nous permet d’être reconnu et ainsi d’être crédible dans un domaine bien précis sans pour autant l’être désigner au statut professionnel. Nous ne pouvons juger un Homme uniquement par le statut professionnel qu’il occupe, puisque ce n’est pas une science infuse et encore moins la vérité à l’état pur.

 

Un Homme devrait être désigné par les activités qu’il exerce en général.Si une personne exerce une profession de mécanicien par exemple, mais que dans son temps personnel cettepersonne jardine depuis des années et s’instruit dans ce domaine. Alors je lui accorderais volontiers la reconnaissance du jardinier et serais sensible à ses conseils, suite à son expérience ainsi qu’à ses connaissances sur le sujet. Prenons un autre exemple, une femme gendarme qui dans son temps personnel va analyser le comportement de son entourage et s’instruire dans le domaine de la psychologie. Nous pourrons alors peut-être ladésigner en tant que chercheusevoire de scientifique, puisque la psychologie est un domaine scientifique. Si elle possède des connaissances et pratique cette science depuis quelques années, alors elle devrait sûrement avoir un bon esprit critique dans ce domaine. Puis si ses analyses et observations sont les mêmes que d’autres scientifiques après comparaison, la question ne se pose plus ! Le statut professionnel à un impact négatif à l’égard d’un être, il est voir même assez réducteur.

 

Au sein de cette société, beaucoup d’individus classent une personne trop rapidement suite au statut professionnel qu’elle occupe.C’est pourquoi l’apparence que l’on émet sous un métier n’est qu’un ordre imaginaire. Entre les compétences et être compétent au sein d’une discipline, il y a une grande échelle. Que dire des médecins dont nous avons pour habitude de les associer aux années d’études qu’ils ont effectuées. Pourtant, des médecins existent dans d’autres pays (pays en voie de développement), et je suis convaincu que certains d’être eux sont brillants. Soignant des Hommes depuis de nombreuses d’années, ils ont acquis des connaissances grâce aux partages de connaissances de leurs confrères par des livres étudiés et suite leurs expériences vécues, leur permettant ainsi d’être reconnus comme un être qui sauve des vies. Ils n’ont peut-être pas de diplômes, cependant ils se sont instruits grâce aux livres puis par l’expérience.

  Port vestimentaire  

Le port vestimentaire peut aussi avoir sa part d’influence. Outre le fait qu’au sein de divers corps professionnel le costume ou l’uniforme possède un réel pouvoir de persuasion, c’est en nous dénudant que nous pouvons nous rendre compte de la vraie valeur des vêtements. L’aspect fonctionnel étant associé à la compétence thermique et l’aspect esthétique étant en lien avec notre personnalité, nous permettant ainsi de nous exprimer auprès d’autrui.

  Conclusion  

Quand bien même vous avez une personnalité selon laquelle vous ne vous laisser pas influencer, tout me laisse penser que l’environnement dans lequel nous vivons et les rencontres que nous allons effectuer vont avoir un impact majeur à l’égard de notre personne. Si vous vivez au sein d’une communauté, où les personnes vont toutes parler avec un vocabulaire familier, votre inconscient va de toute évidence tenter de fonctionner par mimétisme puis de s’adapter, tel un caméléon à ce genre de dialecte. A contrario, si vous vivez dans un environnement où nombreux sont ceux qui entrent en communication avec vous par le biais d’un vocabulaire soutenu, vous aurez tendance à beaucoup plus surveiller votre langage qu’auparavant. Cette observation s’accorde également avec le comportement des individus avec lesquelles vous échangerez. Le fait de vivre avec une personne qui est très joyeuse et qui s’intéresse à divers sujets, puis des personnes qui peuvent être très ouvertes d’esprits, vous permettra de mieux vous sentir grâce à leur tempérament positif ainsi qu’à leur agréable humeur. Ainsi la première clé du bonheur serait intrinsèquement liée à l’environnement dans lequel vous allez évoluer puis développez votre personnalité. Cependant, si vous vivez avec des individus négatifs, qui se plainent constamment de la situation dans laquelle ils se situent. Vous allez alors avoir beaucoup de mal à avancer. Étant donné qu’il me paraît nécessaire de s’entourer des personnes, d’une part qui vous donnent confiance en vous et d’autre part qui ne vous rabaisse pas à votre simple situation, qu’elles soient professionnelles, sociale, ou encore à votre âge. Dans le cas où l’individu s’avère être plus cultivé que vous sur un sujet en particulier, il ne pourra pas être distingué comme étant plus intelligent que vous dans la globalité. Déjà puisque l’intelligence n’est pas comparable à la culture générale, puis elle doit aussi être interprétée selon un point de vue précis et défini au préalable. De ce fait, il est nécessaire d’avancer et de ne pas stagner, alors oyez audacieux ainsi qu’innovateur, car le vrai travail du philosophe, est le fait d’être constamment dirigé vers le raisonnement et sur le chemin de la sagesse.