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L'ÉCHELLE TROPHIQUE




  Échelle trophique  

Au-delà de notre vie quotidienne et très confortable, le privilège d’atteindre la place de la suprématie animale nous paraissait inimaginable à l’aube de notre fuite territoriale. Depuis l’origine tout ce que nous connaissons sur cette planète à un ordre, un usage fondamental. Que dire de l’échelle trophique, cette échelle qui classe tous les êtres vivants de ce monde dans une liste étroitement liée à celle que l’on nomme : « La chaîne alimentaire ». Depuis peu, nous avons constaté qu’au sommet de cette échelle les super prédateurs y trouvaient leur place. Des spécimens aux capacités physiologiques exceptionnelles se nourrissant des autres espèces animales, soit d’un régime alimentaire principalement carnivore. Les espèces qui les précèdent se nourrissent également de viande ainsi que de poissons, mais avec un pourcentage plus élevé au niveau des végétaux, et ainsi de suite. C’est ainsi que chaque espèce animale et végétale possède sa place au sein d’une échelle trophique. D’ailleurs, je suis certain qu’il n’existe pas qu’une seule et même échelle trophique, mais plusieurs qui sont attribués à des biotopes respectifs. Ces espèces animales et végétales qui compose cette échelle, sont dans un ordre bien distinct et de façon croissante, puisque l’espèce qui sera composée de dix fois plus d’individus par rapport à une autre espèce, sera à un niveau inférieur parce que plus nous montons vers les prédateurs et plus le nombre de leur population en minime. En revanche, plus nous descendons vers les proies et plus elles sont nombreuses.

Nous pouvons d’ailleurs représenter cela sous forme pyramidale afin de simplifier la compréhension. En d’autres termes,chaque espèce qui peuple cette planète possède une utilité majeure pour l’ensemble de la vie animale et végétale. Il s’avère qu’il existe seulement cinq niveaux au sein de l’échelle trophique. À la cinquième position, les super prédateurs nous font l’honneur d’en être les élus. Il s’agit particulièrement des grands félins de la savane africaine, des requins et cétacés peuplant nos océans, les imposants rapaces qui dominent les reliefs vallonnés, les effroyables reptiles demeurant au sein des milieux tropicaux… À un niveau inférieur de ces derniers se trouvent des prédateurs se nourrissant davantage de végétaux. Enfin à la base de cette échelle se trouvent les végétaux.
L'ECHELLE TROPHIQUE

À l’origine l’espèce humaine ne se situe pas au sommet de cette échelle. Effectivement, il se situe aux niveaux 2,2. Soit au même emplacement que les cochons, si on fait allusion aux espèces terrestres, et aux anchois, quand il s’agira des espèces marines. Comment notre espèce a pu atteindre cette place, qui à la base ne lui correspond pas ? Différentes réponses ainsi qu’hypothèses ont été élaboré suite à cette question inhabituelle. Serait-ce grâce à notre connaissance accrue en matière de développement technologique ; notre capacité à nous civiliser ; notre transmission de savoir à travers le temps ? Pourtant cette question assez pertinente, a souvent été mal analysé, et il est vrai que les recherches réalisées sur cette intrigue ont souvent été mal menées. Ainsi la réponse à cette question, ne peut se trouver dans nos analyses quotidiennes. Mais en revanche, à la suite de nos connaissances historiques ainsi qu’anthropologiques, liée à l’évolution de notre espèce, en prenant pour origine notre naissance en terre africaine il y a près de 300 000 ans.


 
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