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Lorsque nous avons les trois grandes familles, de la composition herpétologique sous étude. Nous pouvons nous apercevoir que le serpent est surement le spécimen le moins sale en captivité. En effet, cette analyse résulte certainement de la fréquence alimentaire de ce dernier. En d’autres termes, les excréments du serpent ainsi que la fréquence à laquelle il les expulse sont minces face aux autres genres.Les iguanes pour le coup se nourrissent plus souvent que le serpent en captivité. Ainsi, leur fréquence de déjection est plus importante.Enfin,nous considérons les tortues comme étant les spécimens les plus sales.Effectivement, leurs fréquences de déjections étant plus importantes que les deux spécimens précédemment observés. Sachant que les tortues se déplacent également sur leurs excréments, et suite à leurs carapaces plus ou moins imposantes. Ce frottant ainsi à leurs urines et selles.
Odeur /!\Cependant, l’aspect optique n’est pas le seul point de vue à prendre en compte. Effectivement, l’aspect odorant confirme qu’en général les tortues sont les sujets qui sentent le plus, concernant leurs déchets organiques.Bien entendu, certaines espèces de sauriens partageront le podium de cet aspect odorant, mais nous restons là dans une analyse généralisée.