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LA RÉSILIENCE 
- ÉCOLOGIQUE -



  Conviction  

Lorsque j’étais enfant, je rêvais d’être riche sur le point de vue matériel (Voiture de sport ; villa ; voyage luxueux). Évidemment, c’était avant de me rendre compte que la réelle richesse était tout autre chose. Puisque la véritable richesse serait plus liée à notre mère, soit celle qui nous a donné la vie et sur laquelle nous nous développons. C’est grâce à laquelle nous avons pu vivre des millénaires et que nous allons malheureusement mener à sa destruction. Notamment par le credo capitaliste. La catégorie Herpeto, où je classifie mes travaux, est bien plus qu’une catégorie regroupant des études herpétologiques. C’est aussi un ensemble, une sphère destinée au partage. Le fait de partager les merveilleuses existences de ce monde. La richesse et la diversité des espèces qui cohabitent sur la terre. Il est vrai que dans les vidéos dites Herpeto, j’enseigne en majorité des connaissances sur les reptiles. Pour autant, c’est aussi parce qu’il y a encore beaucoup trop de mauvaises idées reçues à leur égard. Je ne désire pas avoir une batterie d’animaux. Je compte avoir juste une dizaine d’espèces pour mes recherches et je ne désire pas non plus faire un élevage. Déjà parce que je trouve indigne de notre part de les faire reproduire uniquement pour un but économique, puis je ne saisis pas l’intérêt de désigner la vision économique comme une fin à notre existence alors qu’elle devrait plus être perçue comme un outil. Uniquement un outil pour vivre au sein de notre société. Vous savez il est assez important de savoir dissocier le fait d’être et puis le fait d’avoir, parce que lorsque vous ne serez plus de ce monde, les personnes tenteront de se souvenir de vous pour ce que vous étiez et non pour ce que vous aviez. Alors il n’est pour moi d’aucune utilité d’avoir 50 espèces sous ma garde.
 
À ce jour, nous avons de multiples œuvres littéraires et cinématographiques en lien avec les disciplines scientifiques. À l’origine, mon travail sur les animaux, pour ne pas dire les reptiles, avait pour but de montrer les merveilles de la nature. Il est vrai que je possède des animaux dans des terrariums puis que je préférerais les voir évoluer dans la nature. Sur le point de vue éthique, je suis loin d’être exemplaire, certes. Pour autant, sur le point de vue climatique, notamment en ce qui concerne la situation actuelle, peut être légèrement perçu comme un symbole de prévention. Bien que j’essaye d’être rigoureux sur les études que j’effectue à l’égard des spécimens que j’étudie en captivité, mes recherches ne peuvent pas être à 100 % fiable dans le sens où un animal qui a évolué en captivité n’est jamais des plus équilibrés. Que ce soit dans des parcs zoologiques ou parcs à thème, les animaux se comportent bien différemment dans la nature.

Cependant, l’existence de ces structures n’est pas non plus à mépriser, puisqu’elle fait certainement preuve de sauvegarde. Lorsqu’il n’y aura plus de pythons sur terre, nous serons bien contents de les retrouver dans nos Zoos. Puisque l’Homme attend d’avoir mal pour se plaindre des conséquences, que ses actes ont engendrées. Cependant, je pense qu’à ce jour il est nécessaire de ne pas dépenser toute son énergie à enseigner ou acquérir du savoir en lien avec la terrariophilie. Comment élever un python en captivité et veiller à ce qu’il ne manque de rien par exemple. Mais plutôt, comment éviter d’être amené à les élever en captivité suite à la disparition de leur habitat naturel.
 
  Le plus grand défi de l’histoire de l’humanité  

Dans le livre d’Aurélien Barrau, intitulé :« Le plus grand défi de l’histoire de l’humanité », nous pouvons relever qu’en quarante ans plus de quatre cents millions d’oiseaux ont disparu. À l’échelle de la Terre, c’est environ la moitié des populations d’espèces sauvages. Les rapports du GIEC de la biodiversité estiment que les disparitions d’espèces ont été multipliées par cent depuis le début du XXe siècle. Depuis 1990, le nombre d’insectes volants a chuté de 80 % en Allemagne. Il ne reste que quelques milliers de guépards, le nombre de lions a été divisé par deux en trente ans, les orangs-outangs sont en danger critique… Suite à la chute considérable de la vie sur terre, les scientifiques désignent ce phénomène comme étant un « anéantissement biologique ».

Chaque année, la surface des villes progresse d’environ quatrecents millions de mètres carrés. La déforestation à des fins agricoles est plus inquiétante encore. À l’échelle mondiale, seul un quart des terres a échappé aux effets substantiels des activités humaines. Il n’en restera plus que 10 % dans trente ans, en grande partie dans les déserts, montagnes et régions polaires. La pollution tue environ trois fois plus d’humains que le sida. Elle cause environ six millions de morts par an et progresse notablement, en particulier dans les pays pauvres et les lieux en développement industriel rapide. La barrière de corail est également en voie avancée de disparition. Le constat est pour le moment assez alarmant et pourtant nous venons de voir qu’une infime partie du bilan.
 
« Les humains représentent 0,01 % des créatures vivantes, mais ont causé 83 % des pertes animales depuis les débuts de la civilisation. Il s’agit là d’une situation génocidaire d’une ampleur sans précédent. Une étude récente suggère que la part de l’humanité soumise à des canicules potentiellement mortelles de plus de vingt jours s’élèvera à la fin du siècle à 74 %. La sécheresse qui a sévi dernièrement au Sahel est sans équivalent depuis au moins 1600 ans. Les feux de forêt ont été multipliés par 4,5. »
 
À ce jour, la réaction courante est très inquiétante. En effet, lorsque nous annonçons l’arrivée soudaine de réfugié politique sur le sol français, de nombreux êtres militent contre les valeurs solidaires par peur de voir leurs libertés bourgeoises réduire. Pourtant, si certains ont du mal à accepter ces réfugiés, comment pourront-ils accepter les réfugiés climatiques d’ici quelques décennies ? Puisque selon l’état actuel de nos connaissances, d’ici trente ans le nombre de réfugiés climatiques sera compris entre 200 et 500 millions.
 
« Été 2018, les températures dépassent 51 °C à l’ombre, à Oman de nuit, la température de descend pas en dessous de 42 °C. Deux ans auparavant on mesurait 54 °C au Koweït. À de t-elle températures, le corps humain ne fonctionne plus. Il détourne le sang vers les capillaires de la peau, rationnant les autres organes vitaux, le cerveau n’est plus alimenté. Le cœur pompe le sang jusqu’à l’épuisement. Et en ce qui concerne les pays extrêmement peuplés, le ressenti s’avère être pire, d’ailleurs a cette allure, on estime que la chine sera invivable d’ici l’an 2070. »
 
« L’ONU estime que si nous ne changeons pas le cap de façon radicale d’ici deux ans, nous allons devoir faire face à une “menace existentielle directe”. La taille de “l’océan de plastique” dans le Pacifique atteint trois fois celle de la France métropolitaine », la masse de ces 1,6 million de kilomètres carrés de déchets augmente exponentiellement. On estime que le plastique des mers tue environ un million d’oiseaux et 100 000 mammifères marins chaque année.Les requins existent depuis plus de 400 millions d’années, mais 80 % d’entre eux ont aujourd’hui disparu et ils sont tous menacés. Conjointement, il y a chaque année 89 millions d’êtres humains supplémentaires à nourrir. »
 
Ainsi, nous sommes actuellement dans une situation critique. De toute évidence, des plans de transition écologique sont à prévoir afin de ne pas subir une terrible catastrophe sanitaire et sociale. C’est pourquoi nous pouvons observer quelques ébauches d’évolutions présentesdans ce livre.

Ébauches d’évolution simples et urgentes :
 

Diminuer la consommation
 
Une croissance exponentielle de l’utilisation des ressources n’est pas tenable éternellement dans un monde fini. C’est un fait. Ainsi, consommer moins est une nécessité et constitue la clé d’un avenir possible pour éviter le « crash » du système planète Terre.
 

Décroissance économique
 
À ce jour, la croissance économique n’a plus d’intérêt ni de sens, suite aux conséquences qu’elle engendre.


Alimentation végétarienne

L’industrie de la viande est l’un des secteurs les plus polluants qui soient. Un kilogramme de bœuf demande 10 000 à 15 000 litres d’eau, une seule calorie de viande demande de 4 à 11 calories végétales, l’élevage émet plus de gaz à effet de serre que toute autre activité humaine - transport compris - et on estime qu’en 2050 il sera la première cause de pénurie alimentaire dans le monde. De plus, à l’échelle individuelle, une alimentation végétarienne permettrait de réduire les maladies cardiovasculaires, le diabète et certains cancers. Sans viande nous pourrions nourrir beaucoup plus de monde, soit contribuer à la lutte contre la faim. Cela permettrait également de faire chuter le taux de mortalité de 6 à 10 %. En ce qui concerne les bétails, ces animaux pourraient enfin arrêter d’être obligés de vivre dans des conditions épouvantables uniquement au profit économique et gustatif de l’homme.


Transport en commun
 
Favoriser l’utilisation des transports en commun, notamment le train. La politique fiscale doit cesser de défavoriser le train qui demeure le moyen le moins polluant sur une large gamme de distance. En particulier, on estime qu’il serait important que l’exploitation du rail reste entre les mains d’une entreprise publique, non guidée par le profit, afin que les lignes non rentables demeurent ouvertes et soient entretenues.
 

Consommation locale
 
Inutile de commander un aliment ou objet venant de l’autre bout du monde si vous pouvez le trouver ou avoir une équivalence dans la boutique de votre village. Puisque si votre requête empreinte la voie maritime, ou la voie des airs, vous serez indirectement responsable de la pollution que le trajet va engendrer à la planète.
 

Agriculture locale
 
Les grandes exploitations agricoles nuisent à l’écosystème, notamment lorsque les producteurs utilisent des pesticides afin d’augmenter leur rendement et ainsi de faire accroitre leur profit économique. L’usage des pesticides ne se contente pas de tuer les espèces visées. Elle occasionne aussi la mort de nombreux oiseaux qui ingèrent les insectes concernés, provoquant un impact notable sur les populations animales. De plus, cela induit, pour les humains, des cancers et des malformations fœtales.

« Nous ne pouvons plus mener une politique qui favorise la “croissance” consumériste. Cela revient à se dire que face à un corps drogué et dépendant, nous allons augmenter les doses de substances hallucinogènes et mortifères. Cela peut, un court instant masquer la pathologie, mais la mort n’en sera que plus rapide et douloureuse.Les rêveurs qui pensent pouvoir défier les lois fondamentales de la nature sont notre pire cauchemar. »

Les priorités politiques devraient être toutes tournées vers l’écologie et le social et non l’économie. Il y a également une inégalité des richesses et niveau de vie à combattre, afin de tendre vers un avenir qui respecte nos valeurs, dont l’égalité. Puisque chaque jour la famine tue 25 000 humains tandis que nous jetons dans le même temps 3,5 millions de tonnes de nourriture.


  Chaos minuté  

Aux yeux de l’Homme de Neandertal, son cousin mutant l’Homo Sapiens constituait d’une aberration. L’avènement d’une version mutante de l’espèce humaine Homo Sapiens,a toujours entrainé l’extinction immédiate de la branche la moins évoluée. Mais à ce jour, le Neandertal c’est vous et moi. Si nous jouons à sous-estimer la cause qui est en cour, cette fois la guerre se disputera dans nos rues, nos villes, nos maisons. Malheureusement,lorsque nous aurons compris la nécessité du programme, il sera beaucoup trop tard.


LA RÉSILIENCE ÉCOLOGIQUE
  Homme en cage  

Au sein de mon quotidien, puis au-delà des recherches scientifiques dont mes animaux peuvent faire usage, c’est avec grande admiration que je les observe en captivité. Prendre le temps d’admirer ces merveilles de la nature, où sentiment d’humilité m’effleure. Cependant, le fait d’observer de telles espèces en captivité puis d’associé mes recherchent à celle dédiée à l’humanité, à l’Homme, me permet de comprendre que la vie en société n’est pas si différente. Nous avons beaucoup de mépris envers les animaux, la plupart étant enfermé dans des cages et dont leur but se résume uniquement à servir l’être humain à travers différents domaines. Tels que la science, la nourriture, l’agriculture ou encore le divertissement que parfois nous en oublions leur existence. Les ayant malheureusement classés au rang des objets. Au-delà de cette maltraitance, où je laisserais bien plus compétent que moi pour défendre cette cause. Je souhaiterais comparer le mode de vie d’espèce en captivité, à celui de l’Homme en société.

Tout me laisse penser que l’humanité vie non pas dans une cage matérielle, mais plutôt immatérielle que l’on nomme : « la société ».Où le passage des barreaux s’avère être une perte économique qui est aujourd’hui notre gagne-pain. Dépourvu de tout aspect naturel comme la chasse, qu’il avait autrefois acquis.Actuellement défini comme le lion, placé sur son piédestal comme le maitre divin, mais incapable de vivre seul. Sans ses lionnes pour lui apporter nourriture et descendance. Nous sommes ainsi pareil, ne pouvant vivre sans les chasseurs-cueilleurs qui nous apporte denrée alimentaire, mais cette fois-ci au sein des grandes surfaces dédiées au commerce, dans une vie de surconsommation.

Ainsi, nous travaillons pour acquérir cette alimentation et nous appliquer à la société. Par mesure de survie d’après certains, pour subvenir à nos besoins indispensables pour d’autres. Il n’en est rien de si différent si ce n’est que pour la société française les barrières ont été sautées il y a bien longtemps. Bien que dans certains pays les parois grillagées subsistent toujours et que l’on nomme des frontières. Pour ce qui est de l’Europe, où nous pouvons circuler comme nous le souhaitons, et sommes libres de penser qui est selon moi l’aspect le plus primordial qui soit, afin d’œuvrer en tant qu’artiste.
 
Comme au sein d’un parc zoologique, nous ne jouissons pas assez de nos mouvements et sommes confrontés à des obligations que nous nous sommes préalablement fixées. Nous jouissons pour beaucoup de notre travail pour asservir une société qui nous permettra de nous apporter un minimum de confort par l’obtention de l’argent que nous utiliserons pour nos biens matériels, la sécurité et les urgences. Bien que j’ai pu comparer l’Homme avec le lion, vous vous doutez bien que ça n’a rien à voir avec sa férocité qui ferait fuir plus d’une espèce, mais c’est plus sur le point de vue du statut du pacha s’accordant un titre de prestige par l’usage de compétence prédatrice sans avoir préalablement acquis la sagesse. D’ailleurs, en ce qui concerne l’usage des compétences prédatrices des grands félins, qui au lieu d’user leur capacité de destruction envers la nature pour se prouver qu’ils en ont de telles, les utilisent uniquement pour leur besoin indispensable en nourriture. Je pense que nous arrivons à un jour où il est nécessaire de privilégier notre environnement dans lequel nous évoluons, afin de garantir un avenir meilleur à nos générations futures. Je rêve d’un monde vierge et pratiquement inexploré par l’Homme où seuls les fourmis et oiseaux y règnent en maitre. Notamment par le léger frissonnement de feuille où se tapissent les plus majestueux serpents, pour l’herpétologiste que je suis. Nous avons tous des pulsions qui se résument à nos talents de destruction.
 
Nous pouvons être des prodiges aux yeux des humains. Mais pour le moment nous resterons aux yeux de la nature des éléments néfastes, perçus comme le virus qui anéantira notre espèce, tout en accompagnant nos voisins les animaux dans ce terrible gouffre. Alors mes études portées sur l’analyse du monde, sur l’observation de notre environnement lorsque j’effectue des expéditions culturelles, pourront peut-être un jour porter leurs fruits. Je n’éprouve guère l’envie que chacun suive ma voie, bien au contraire je souhaite à ce chacun trouve sa propre destiné. Ceci permettra néanmoins de déconstruire certaines évidences, afin de veiller à l’élaboration d’un monde qui soit radicalement autre. Synonyme de nouveauté, érigé par des pensées novatrices, il me semble donc légitime de remettre en cause certaines idéologies tout en prenant en compte les avantages ainsi que les inconvénients d’une existence faisant débat.

 
  Basculement inévitable  

Après chaque évolution, une révolution survient. Chaque espèce s’adapte en fonction des évolutions de sociétés, mise à part une seule, celle de l’Homme.  En effet, l’Homme est l’espèce qui a causé le plus de conflits puis de dégâts. Grâce à l’histoire, nous avons pu observer que plus la révolution était importante, plus le temps d’évolution était conséquent jusqu’à l’aube de la prochaine. Je suis convaincu que suite à la Seconde Guerre Mondiale, qui a été d’une importance capitale, d’ici quelques décennies une autre crise verra le jour, si elle n’a pas déjà commencé. Certes, des conditions de sécurité et de prévention ont été établies suite aux conflits de l’ancienne époque. Pour autant, je pense que la menace viendrait d’autre part. Certainement lié au dérèglement climatique, basculement de l’écosystème ou l’insensibilité de notre gouvernement face à la catastrophe écologique.
La surpopulation est peut-être en constante augmentation, mais je suis convaincu que l’aspect quantitatif n’est pas la cause de tous nos maux. Il s’agirait plutôt de l’aspect qualitatif, de nos actes, de notre comportement certainement trop perturbateur pour notre mère, la nature. Auquel cas, si aucune décision stricte n’est prise,à cette allure, je ne laisse pas la fin du siècle pour que le monde connaisse un désastre de grande ampleur.


  Conclusion  

La société de surconsommation possède bien des avantages. Pour autant, il ne s’agit pas de ceux qui devraient s’accorder aux valeurs écologiques et sociales. Ainsi le visage de notre société s’accorderait plus au désire d’avoir, plutôt qu’à celui d’être.L’avenir de l’humanité me paraît alors peu prometteur à ce jour. Il est vrai que nombreux sont les éléments néfastes qui composent notre monde et qui n’iront pas en s’arrangeant. Que dire des conflits géopolitiques, de la précarité des conditions de vie dans lesquelles de nombreuses personnes souffrent, des inégalités de richesses ainsi qu’une situation écologique tragique ? Les Hommes de pouvoir étant trop occupés à soigner leurs égos en misant tout sur l’économie afin de fructifier leur cupidité. Un tel manque d’humilité peut être qualifié comme étant moralement abject, face à l’avenir écologique funeste qui nous attend. Notre avenir me paraît donc incertain. Suite aux priorités politiques visant à renforcer la croissance économique de notre nation, permettant ainsi de faire preuve de suprématie à l’égard des autres nations. Ou encore la négligence du berceau qui nous a donné la vie.À ce jour, le sérieux devrait être au rendez-vous. Ce n’est pas qu’une simple volonté, mais une nécessité de nous acheminer vers un avenir plus prometteur qui soit, autant pour nous que pour notre rapport à l’altérité. Il est vrai que cela puisse nous paraître difficile quand nous observons le sort qui nous attend. Pourtant il serait essentiel d’avoir de l’audace, afin de réaliser un tel effort permettant de garantir un avenir fiable à nos descendants.


 
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