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L’éloge des pensées
La pensée idéale est un mythe. Nous ne pouvons pas interpréter de manière verticale les éléments issus de notre environnement, puis de les classer de façon ordonnée. Ou de classer les personnes selon leur point de vue intellectuel au sein d’une échelle de 1 à 10, de 1 à 100 ou selon un pourcentage. Qu’importe la vision du monde, la perception de ce dernier s’effectue d’une part suite à nos analyses quotidiennes, mais aussi avec la prise en considération des connaissances les plus récentes en terme scientifique. Puis d’autre part selon la comparaison de notre vision du monde avec celle d’autrui. Quand nous sommes penseurs ou chercheurs, que nous nous questionnons sur le monde puis que nous souhaitons le conceptualiser intellectuellement, il me parait légitime de comparer nos recherches avec celles des autres afin de voir si nous sommes dans la comparaison ou en revanche dans la contradiction. Mais en aucun cas, nous appliquer aux lois fondamentales de la vision du monde des êtres intellectuellement et nettement développés, beaucoup plus compétents que nous selon notre point de vue. Même si nous sommes convaincus et conscients que notre vision du monde peut être biaisée et tentons de rester humbles, il ne faut pas négliger la vision qui nous parait la plus cohérente au sein de notre propre logique. Une logique que nous avions établie après mûre réflexion et analyses en fonction des connaissances que nous avions acquises, puis que nous cessons de remettre en cause afin d’y déceler une éventuelle faille. En aucun cas, nous n’aurions la science infuse, mais ce que je souhaiterais sous-entendre c’est que notre perception du monde, notre vision de ce dernier, est unique.Je suis loin d’être un chercheur ou un penseur au sein de la conceptualisation d’un monde, d’un idéal, d’un repère ou d’une doctrine à appliquer. Je souhaite juste avec mes connaissances et ma capacité d’analyse, de conceptualiser un monde selon ma philosophie. Pour autant, pas selon la philosophie universelle, puisque c’est comme pour la rationalité, la philosophie dépend de chacun des êtres. C’est pourquoi le vrai travail n’est pas de définir la vraie réalité. Parce que, qu’est-ce que la réalité ? Qu’est-ce que la vérité au finalement ? Si la rationalité dépend de chacun d’entre nous. Alors je soutiens tous ceux qui tentent de construire un nouveau monde, de le mettre en lien avec tous les idéalistespermettant de bâtir un monde qui s’accordera aux multiples convictions des êtres et qui pourra de toute évidence, devenir un repère pour tous.
Nouveau goût
Mon univers, les forêts, les tropiques, les reptiles... Le fait de partir en Finlande m’a permis de me désinsérer de mon cocon, de ma bulle. Un arrachement de mon quotidien qui m’a permis de faire évoluer ma philosophie et de ne pas uniquement m’intéresser à une seule branche scientifique. Mais de voir beaucoup plus large, de regarder plus haut puis prendre du recul. D’étudier mon espèce avec la même assiduité que je peux avoir lorsque j’étudie celles issues de la branche herpétologique. Nous !Membres d’une espèce terrifiante, l’espèce humaine. Où jadis nous avions le statut d’être primitif.Bien que nous avions subi une grande évolution, il reste néanmoins encore du chemin jusqu’à la porte de la sagesse. Ainsi, je fis la découverte de cet incommensurable amour, pour la philosophie.
Être philosopheLe fait de se considérer en tant que philosophe peutêtreinterprété comme étant une prétention relativement provocatrice, notamment dans le fait de se définir en tant que penseur résolu. Mais l’idée générale est ainsi ! Semer le doute, engendrer l’émergence des questionnements afin de questionner autrui. D’ailleurs, le statut du philosophe ne peut être associé directement aux autres statuts professionnels. Puisqu’au sein de la société, il y a des restrictions et la philosophie est pourtant la discipline qui permet d’évoquer son point de vue sans filtre, que nous soyons en lien ou en désaccord avec les valeurs du gouvernement. Donc être reconnu par le gouvernement en tant que philosophe est une chose. Mais pensez-vous réellement que ce dernier pourra jouir pleinement de son statut sous le financement gouvernemental ? Permettez-moi d’en douter !
Pour certaines professions nous allons suivre une formation passant deux voire trois ans de notre vie afin d’atteindre un statut administratif, comme le fait de devenir électricien par exemple. Ainsi, ces futurs électriciens vont se former puis acquérir du savoir dans le domaine de l’électricité. À l’obtention de leur diplôme, ils seront désormais définis comme étant électriciens. À la suite de cette formation et sous l’exercice de leurs fonctions, ils vont continuer d’apprendre et d’acquérir des connaissances techniquestout au long de leur expérience professionnelle. Par exemplepar le fait de rester actif sur l’actualité ou dans les normes. Cependant, je négligerais pour le moment ce léger pourcentage de connaissances qu’ils vont acquérir durant leur carrière, puisque nous en apprenons chaque jour, et ce tout au long de notre vie (pas seulement dans notre métier). Tandis que le penseur, voire le philosophe, ne peut être défini comme un philosophe à un moment donné puis stagner à ce statut après l’obtention de ce diplôme.
Je pense que le but du penseur est de se questionner constamment sur le monde puis de ce qui le compose, et cela tout au long de sa vie. Il ne pourra avoir le savoir absolu du monde et de la vie en général. Il aura certes l’expérience de sa vie, mais pas de la vie en général puisque nous avons tous des points de vue qui méritent d’être échangés ainsi que partagés pour établir le schéma type de la vie.Pour la plupart des personnes que j’ai pu rencontrer jusqu’à aujourd’hui, leurs façons de penser sont fondées de manière ordonnée et conditionnées scrupuleusement dans une bibliothèque de pensées. Dans la majorité des cas, ce classement peut avoir un effet néfaste lors d’échange intellectuel et suite à la prise d’un point de vue très singulier. Tel que les sujets tabous qui dérive parfois sur des propos dépassés, engendrant rumeurs et préjuger. Pensez-vous réellement que le fait de prendre comme origine sa propre personne est un avantage pour émettre un jugement correct ? Permettez-moi d’en douter ! La pensée verticale ainsi que le classement d’idéologie de façon ordonné, des êtres et/ou des objets sous un référentiel commun peuvent nous amener sur des résultats totalement dépassés, dénués de sens pour autrui et pourtant véridiques pour notre propre logique.
La Philosophie
L’élément qui s’avère être d’une grande utilité à ce jour est l’abolition de nos « impératifs biologiques ». D’aller cueillir, d’aller chasser, ou encore de nous protéger des prédateurs ainsi que des éventuelles mauvaises situations climatiques qui pourraient impacter notre survie. Suite à l’agriculture, aux inventions ainsi qu’à l’ingénierie nous avons désormais tout à disposition pour notre confort ainsi que notre sécurité, que nous pouvons même trouver le temps de nous ennuyer à certains moments de la journée. Bien qu’il existe encore trop d’individus au sein de cette société qui trouve encore le moyen de se plaindre, il y a une chose que nous ne pouvons pas remettre en question. Nous avons acquis beaucoup de temps libre. C’est un fait. Un temps qui jadis pouvait être sollicité à la réflexion suite aux préoccupations liées à notre survie. Mais les temps ont changé, notre survie n’étant plus la priorité de nos pensées, nous pouvons donc utiliser notre matière grise à d’autres fins.
Nous consacrer à des activités d’amélioration, bien au-delà de l’aspect matériel que nous avons pu observer jusqu’à ce jour.Je fais notamment référence à l’expansionnisme technologique que nous avons récemment connu au début du 21e siècle ou encore au développement des moyens de transport, qu’il soit terrestre, aquatique ou aérien, ayant pour but de nous attarder davantage sur l’enrichissement intellectuel. Prendre le temps de faire évoluer notre philosophie ainsi que notre perception du monde afin de guider l’humanité vers un avenir qui soit plus prometteur, autant pour nous que pour les autres espèces membres du règne du vivant. D’ailleurs, c’est aussi cela qui est assez fantastique pour le coup, puisque ça nous offre une multitude d’avenirs. Une multitude de chemins à entreprendre, une sorte de voie philosophique que nous pouvons emprunter de façon libre, tout en expérimentant, en réfléchissant ainsi qu’en nous posant les bonnes questions en ce qui concerne les analyses qui résultent de nos observations. Puis pour finir, prendre du recul sur notre vie, ainsi que sur celle liée à l’existence de notre espèce, l’humanité entière. Alors je ne suis pas de ceux qui pense que la philosophie en tant que telle s’enseigne, mais plutôt le goût, l’amour de cette discipline. De plus, inutile de posséder un diplôme pour prétendre d’un quelconque statut, puisque je pense que nous sommes ceux que nous devons censés être par le travail personnel ainsi que régulier et non censé paraître par un vécu. Pensez-vous sincèrement que Socrate à eux son Bac de philo ? La réponse est non ! Déjà puisqu’à l’époque ça n’existait pas, mais aussi puisqu’il a développé sa propre philosophie. Peut-être en se basant sur les idées de ses confrères, ce qui n’est pas une mauvaise méthode parce que la plupart des scientifiques travails ainsi. Bien qu’il faut tout de même veiller à être bien conseillé et non, mal influencé.De toutes évidences, le scientifique va réaliser des activités à but expérimental (dans la mesure du possible), afin de prouver si sa théorie s’avère être vraie ou totalement fausse. Il est vrai qu’en philosophie il est tout aussi important de comparer sa façon de percevoir puis de comprendre le monde dans lequel nous évoluons, tout en enrichissant ses connaissances qui pourront impacter notre vision de l’existence. La remise en question doit également faire partie de l’équation, car si nous restons fermer sur nos idées, si nous sommes trop fermés d’esprit nous ne pourrons mûrir. Quand bien même vous auriez raison, si vous pensez que vous détenez la raison pure vous ne serez qu’au stade primitif de la réflexion. Comme le disait Aristote, philosophe grec, l’ignorant affirme, le savant doute, le sage réfléchit. Ainsi, telle est ma vocation de transmettre le goût et l’intérêt de la philosophie. D’enseigner certaines connaissances en lien avec cette discipline, tout en partageant certaines méthodes de pensées favorables à la prise de recul ainsi qu’à la comparaison d’idéologies en lien avec une thématique bien précise. Que ce soit lié à votre quotidien, lié à votre vie ou encore à votre but, à notre but. Je ne suis pas non plus là pour vous représenter l’image de la vérité à l’état pure, puisqu’encore une fois la définition que nous pouvons attribuer à la vérité voire à la réalité est subjective.Bien que tout soit relatif à une question de point de vue, l’usage de mon travail devrait être plus associé au partage d’une méthode de pensée afin de laisser mon soi-disant public, faire jaillir leurs réflexions et pris en considération de savoirs. Pensez, philosophez de votre côté suite aux nombreux outils que vous récoltez au sein de votre quotidien, mais en aucun cas de ne suivre le chemin d’un autre. Visualiser votre ligne, les personnes que vous allez rencontrer durant votre vie pourront vous conseiller, mais en aucun cas vous influencer vers une voie qui à la base n’est pas la vôtre. Ceci étant fait, une fois que vous aurez votre propre façon de penser vous pourrez définir ce qui est éthiquement correct ou moralement abject. Une aubaine, si vous désirer partager votre vision en ce qui concerne bien penser et mal penser. Mais attention à l’échelle individuelle nous ne pouvons mettre un nom sur le bien ou le mal, puisqu’encore une fois tout est une question de point de vue. Ce n’est pas comment bien penser, mais c’est plutôt comment penser selon ses convictions, selon ces connaissances sur le monde tout en prenant du recul et en prenant en considération l’intérêt des autres ?Au sein des multiples cours que j’enseigne et enseignerais, je partage non pas la philosophie dans son intégralité, mais tout simplement la mienne. Ma philosophie qui résulte des disciplines scientifiques qui sont ou seront le fruitde mon travail ainsi que de mon investissement personnel. Peut-être que certains d’entre vous, philosophe à vos heures perdues seront partisans des outils que je propose. Tandis que d’autres, pas du tout. Mais vous pourrez également me faire don des vôtres, afin de faire honneur à la notion du partage. D’ailleurs, le fait de philosopher régulièrement vous permettra surement de mieux prendre du recul, ou encore prendre de la hauteur sur les éventuelles situations qui pourraient soudainement survenir au sein de votre quotidien. Prendre de la hauteur afin de changer votre angle de vue, puis voir plus large pour ainsi dire, que si nous étions restés à notre place.Pour conclure, je m’exprimerais d’ailleurs avec ma vision actuelle du monde : « Quelques soient les priorités à entreprendre au sein de la société ou au sein de notre vie. La notion de la vérité ne devrait pas être une fin, mais simplement une façon de percevoir les choses qui entreront en lien avec nos convictions, nos intérêts, et peut-être, notre philosophie. »
Notion philosophiqueLa notion philosophique est importante à définir. La philosophie est le fait de prendre du recul sur notre quotidien, d’élargir son savoir ainsi que ses réflexions afin d’établir une analyse qui nous paraîtra conforme à notre évolution. En d’autres termes, il faut être capable de prendre du recul et de se poser les bonnes questions. Je suis en désaccord avec la façon de penserliée au fait que la philosophie c’est l’art de penser par soi-même, et que l’accroissement de ses capacités de raisonnement est majoritairement favorisé par la lecture de textes littéraires. Ça c’est vrai qu’à l’école ! Personnellement, je pense que si l’on se base sur les idées des autres et accroît nos réflexions philosophiques selon la pensée d’autrui, alors le fait de penser par soi-même n’est plus là. Par conséquent, la clé de la vérité, la clé menant à la porte de la sagesse n’est pas seulement théorique.
Il faut également être capable de quitter son élément, de s’arracher de son quotidien comme j’ai pour habitude de démontrer au sein de mes documentaires« Perception. » Une manière de se désinsérer de notre vie quotidienne afin de nous permettre de mieux comprendre le monde et ainsi, de mieux nous connaître nous-mêmes pour savoir où aller. Comment voulez-vous savoir où aller si vous ne savez pas d’où vous venez ? Donc, quittez votre élément et découvrez d’autres coutumes pour vous ouvrir au monde, aux savoirs, et mieux entreprendre votre vie. Je pense que nous avons tous la capacité de prendre du recul et de percevoir le monde différemment que les autres. Il suffit d’avoir le déclic, souvent obtenu par une expérience qui nous arrache de notre quotidien d’ailleurs. Parce que malheureusement au sein de cette société, nous avons grandi avec des voiles qui nous rendent aveugles. Non pas de la vue, mais de la vie telle que nous devrions la percevoir. En ce qui concerne les textes littéraires, vous pouvez bien sûr en prendre connaissance. Pour autant, il ne faut pas oublier d’autres œuvres. Il est même primordial d’être curieux, de s’instruire de toutes les manières qui soit, afin de s’enrichir intellectuellement ? Ceci vous permettra ainsi de mieux éclaircir vos réflexions philosophiques.Voici un de mes essais concernant mon expérience ainsi que ma vision du monde :« Au début je n’étais qu’un soigneur de reptiles, considéré comme docteur par certains individus qui me contactaient par téléphone, email ou via les réseaux sociaux. Qui plus est, je me suis intéressé à la science ainsi qu’à l’évolution de l’Homme parmi les autres espèces du monde animales. Je me suis diversifié dans mes recherches, j’ai élargi mes réflexions et développé ma façon de penser selon les connaissances que j’acquiesçais. Le fait d’observer le monde, de l’analyser puis de comprendre les événements qui s’y déroulent m’a permis d’accroître ma façon de voir puis de comprendre le monde dans lequel nous évoluons. En faisant évoluer cette perception du monde, j’ai décidé de la partagé avec vous ce qui n’est ni plus ni moins qu’une manière d’émettre ma philosophie. Selon moi, nous sommes tous capables d’élargir nos pensées, il suffit de s’ouvrir à l’exotisme du monde, de voyager, de prendre du recul puis d’ouvrir son esprit. Pour ma part, dès que j’ai pu quitter mon quotidien, quand l’opportunité s’y est trouvée, tout m’a paru plus clair, plus ordonné de telle sorte que tout était lié et avait un but fondamental sur la notion d’existence. De jour en jour, j’apprends et je muris. Chaque jour est un atout majeur pour mon évolution psychologique ainsi que pour mes réflexions philosophiques. Nous vivons dans un monde où nous ignorons de nombreuses choses. Mais c’est en explorant l’inconnu, en visitant les autres cultures et coutumes que l’on s’aperçoit que la banalité est ni plus ni moins qu’une question de point de vue, puis le fruit d’une situation particulière. Les cultures sociales, les façons de penser, les idéologies ancrées dans les mœurs ne sont rien d’autre que des absurdités et modes de vie appliqués pour une vie sans égard, dans le respect ainsi que la conformité de pensée que nos ancêtres nous ont laissés. Nous sommes le résultat d’un bridage d’esprit. Nous sommes avant tout des sapiens ayant la capacité de penser, alors pourquoi ne pas en profiter dans son intégralité ? Nous sommes tous des voyageurs temporels sur le chemin de la vie. Le fait de comparer le carburant à la transmission de connaissances est une philosophie que je partage. Tout en remettant constamment en cause ma perception du monde ainsi que mes modes de vie pratiqués, qui jusqu’à ce jour me semblaient banals. »IndépendanceAinsi, la pratique de la philosophie s’avère être la clé d’une indépendance totale. Du simple vidéaste qui œuvrait parmi la population mondiale que j’étais, au chercheur accompli d’aujourd’hui. On l’observe déjà de par la branche scientifique dédiée à l’herpétologie et à l’anthropologie,mais également suite aux questionnements que j’entreprends sur le monde, l’avenir de l’humanité et de son environnement où nous avons depuis des millénaires jouit de nos sens. Après quelques années à créer des vidéos faisant honneur à l’essence même de cette chaîne, une évolution non seulement physique, mais aussi psychologique, m’a permis d’élargir ma vision du monde afin d’atteindre des objectifs toujours de plus en plus ambitieux. Sous cet aspect philosophique où jaillissent mes pensées que je dirais peut-être nécessaires à entreprendre, afin d’être soi-même et d’atteindre un jour, qui sait, la place de la sagesse. Même si cette volonté me paraît trop ambitieuse, sachez que c’est en visant haut que nous pouvons atteindre une place toujours plus satisfaisante que celle d’où nous partons. Si je peux me désigner en tant que tel et croire en mes capacités, pourquoi ne pas croire en les vôtres ? Nous sommes tous des penseurs, dotés de compétences qui peut-être nous dépassent pour certains. Mais ayez l’audace d’exercer vos talents puis de faire honneur à l’être qui sommeille en vous, tout en surmontant les multiples barrières que vous vous êtes fixées au sein de la société.
Effet domino
L’effet domino peut être défini comme étant une simple succession d’événements, résultant de la cause à effet. La recherche du bonheur est de toute évidence la clé, le but ultime voire la voie sur laquelle nous sommes ensemble. Un besoin universel permettant ainsi de gouverner le monde, tel que nous le souhaitons si nous réussissons à user de nos talents de manipulateur. Comment, me diriez-vous ? Tout simplement en influençant la population de manière à ce qu’elle perçoive l’acquisition du bonheur, comme étant la résultante de l’asservissement des besoins de la société. D’où la reconnaissance de cette dernière qui sera fortement induite par votre réussite. Laquelle alors ? Financière bien sûr. N’oublions pas qu’une grande partie de notre population se fit à la valeur économique et qu’elle est souvent décisive dans nos agissements. Surement le résultat d’une société trop capitalisée, suivie d’une éducation peu représentative de la réelle richesse humaine. Mais tout serait une question de situation. Si vous rêviez d’être un dictateur, et si la définition attribuée au bonheur par la population est contraire à la vôtre, alors dites adieu à votre souhait de gouvernance. Si les personnes sont trop autonomes de pensée, vous ne pourrez diriger un monde totalitaire où vous serrez le roi à tout pouvoir. Que dire de l’existence des monarchies absolues, où durant le moyen âge le roi était considéré comme le représentant de Dieu sur terre. Il possédait tous les pouvoirs suite à ses arguments de manipulation et possède une grande influence. Il fit ce qu’il voulait, tout en pliant le peuple à sa guise.
Mettre des contraintes dans la liberté de pensé de plusieurs personnes nous permet ainsi d’appliquer notre idéologie de faire émerger un intérêt commun, puis de le mettre à notre profit en ayant peu de mal à convaincre la population si nous faisons en sorte que cette idéologie leur sera bénéfique. En ce qui concerne notre roi, il eut peu de difficulté à soumettre son peuple. Il lui suffisait de leur garantir santé, confort et sécurité autant sur le point de vue matériel que spirituel,étant donné qu’il avait un lien direct avec le divin. Ainsi, le peuple avait peu de mal à se prosterner à ses pieds, lui accordant ainsi les pleins pouvoirs. Bien que je prenne l’exemple de la religion étant utilisée par quelques Hommes ayant pour but d’endoctriner le peuple, je ne fais que de m’appuyer sur les écrits du passé en analysant ses actes et conséquences par la prise de recul, puis suite aux multiples connaissances scientifiques telles que la psychologie, l’influence et la manipulation. Encore ces outils sont utilisés à ce, mais plus en faveur de l’économie afin de rendre le peuple plus dépendant de certaines décisions gouvernementales.
ConclusionLes façons de penser varient selon l’environnement dans lequel nous évoluons. Nous sommes semblables sur certains points avec d’autres peuples, mais nous ne pouvons en aucun cas généraliser un peuple à une idéologie. Les futures populations pourraient bien sûr, avoir un impact néfaste pour l’avenir de l’humanité. Non pas en ce qui concerne un accroissement drastique de notre population, mais plus au sujet de nos comportements. Le manque d’ouverture d’esprit, les mauvaises cognitions, l’arrogance des personnes de pouvoir, le fait d’associer l’âge à la raison, définir un individu selon le statut professionnel qu’il occupe ou encore conserver un système éducatif dépassé. À quoi bon de définir la réalité ? De chercher la vraie raison, quand nous nous apercevons finalement qu’il n’y a pas qu’une seule façon de voir puis de comprendre le monde dans lequel nous évoluons. Pour la majorité d’entre nous, la science désigne la vérité à l’état pur. Pour ma part, il n’y a pas qu’une seule vérité. À quoi bon de suivre un chemin emprunté par x personnes, si la philosophie est assez vaste pour que nous puissions avoir notre propre ligne et entreprendre notre vie selon nos désirs ? Qu’importe de bien penser ou de mal penser par rapport à autrui. Ce qui compte c’est d’avoir sa façon de penser qui nous est propre, puis si le bien commun n’est pas violé, évidemment. Alors, n’ayez pas honte de vous affirmer. Puisqu’il est primordial de conserver sa personnalité et en aucun cas de rester sur ses acquis. Mais d’évoluer en fonction de ses objectifs ainsi que de nos convictions. Pourquoi tenter de ressembler à quelqu’un d’autre si vous êtes déjà vous-même ? Certes avec vos qualités, mais aussi vos défauts qui font de vous un être unique.