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HUMANO > PHILOSOPHIE > ESSAIS 2021



LA DÉPENDANCE




  Êtres dépendants  

Nous vivons tous (pour la majorité d’entre nous), au dépend d’une société. Nous avons tous cette image du chômeur qui vit au dépend de la société, méprisée d’ailleurs par de nombreuses personnes et ce peu importe les convictions politiques des individus. Mais tout me laisse penser que la classe moyenne vie aussi au dépend de la société. Tout comme les riches. En fait, à tort nous employons le terme de vivre au dépend de... Le chômeur ne peut pas être intégralement considéré comme un être vivant au dépend de la société par rapport à l’Homme moyen ainsi qu’au riche, puisque si c’était le cas ceci signifierait que nous aurions pris comme référentiel le facteur économique et pour émettre un jugement correct nous ne pouvons pas prendre un morceau de faits, mais l’intégralité des faits. Sur certains points de vues, cette analyse peut être erroné tout simplement parce que pour vivre au dépend de, c’est qu’il faut pouvoir être entretenu par certaines personnes. Le riche peut l’être par exemple comme le chômeur avec le facteur économique, mais cette fois-ci avec la partie d’assistance humaine. Ainsi, sur deux facteurs différents nous pouvons observer que le chômeur et le riche sont tous deux considérés comme étant assistés. Mais pas selon les mêmes critères, d’où l’importance de bien prendre en compte toutes les informations lors d’une analyse.

Mais à ce jour, j’ai pu constater à maintes reprises que nous jugeons malheureusement à tors un individu d’après le statut professionnel qu’il occupe. De son appartenance à une quelconque classe sociale ou pire selon ses attribués physiques, souvent associés d’ailleurs, par erreur à un ou plusieurs traits de caractère. Le fait d’associer un individu au fait de vivre au dépend de la société uniquement par le facteur économique nous mène à un jugement biaisé en ce qui concerne l’analyse de cette personne au stade individuel. Puisqu’au final nous vivons tous au dépend de la société. Bien que ceci puisse nous donner bien des avantages, nous pouvons tout de même y déceler un inconvénient. Parce que nombreux d’entre nous sont presque incapable de vivre au stade primaire, à l’état primitif tel des sauvages. En soit ça n’a peu d’intérêt à avoir cette capacité à ce jour me diriez-vous. Je suis d’accord avec vous, mais qu’en est-il de notre avenir ? Bien que nous allions faire en sorte que tout se passe correctement, nous ne pouvons être certains qu’un drame écologique et/ou social ne voit pas le jour d’ici les trois décennies à venir. Qu’est-ce qui pourra nous sauver ? Notre richesse matérielle ou intellectuelle ? Voyez-vous la polyvalence devra être privilégié afin de permuté du stade, citoyen au stade marginal. Puisque le fait de vivre de temps à autre, excentré de la vie du matérialiste.
 

Il est aussi fondamental de se retrouver soi-même. De se tourner vers l’éveil spirituel.Ceci nous permettrait de dissocier l’abject de la nécessité. Mais encore faudrait-il déconstruire les mauvaises croissances que nous pouvons encore avoir à ce jour.Notamment à la suite du voile que l’on nous a mis devant les yeux depuis notre naissance au sein d’une quelconque société.Savoir également dissocier le niveau d’étude à l’intelligence, ou encore la vie notée à la vraie vie comme j’ai pu vous le démontrer jusqu’à maintenant et que je tenterai de démontrer encore et encore. Certes, le niveau d’études nous permet d’être reconnusaux yeux de la société, mais suite à cette reconnaissance nous allons pouvoir être classés au sein d’une hiérarchie de valeurs.

L’Homme gagnant bien sa vie sur le plan financier sera plus définit comme un Homme ayant réussi sa vie aux yeux de la société, qu’un être ayant un salaire modeste. A contrario, un homme ayant la plus grande générosité du monde, riche en savoir mais pauvre en finance, sera plus considéré comme un Homme ayant raté sa vie puisqu’il aura peu contribué à l’évolution financière de notre société. Sauf que la définition qu’il attribue à l’évolution n’est peut-être pas la même que celle qui est associée à l’heure actuelle à la société, par la société. Il aura peut-être raté sa vie, si nous associions dans cette société capitalistique, l’argent à la réussite.
 
Voici malheureusement la vision qu’attribuent de nombreux êtres à la société. Bien entendu, ceci m’attriste de constater cette mentalité encore d’actualité au 21e siècle. Associant plus la richesse au savoir qu’a l’argent, je m’accorde tout de même à croire que nous avons la politique que nous méritons, malheureusement. Dans un monde, sans structure où il faut vivre comme des marginaux, un être pourrait avoir un très haut niveau d’étude avec de nombreuses compétences intellectuelles, voirehors du commun, mais s’il ne sait pas utiliser ses mains ou l’instinct de privilégier ses actions à sa survie, il mourra. À travers les millénaires nous avons modifié nos codes de sélection. À la base la sélection naturelle s’effectua, selon des critères hautement physiques liés à la survie, ainsi qu’un bon patrimoine génétique puis à une bonne capacité de réflexion. Que dire des travaux de Darwin ?
 
À ce jour, nous tendons plus vers la capacité d’analyse, une vision strictement verticale qui résulte certainement du système éducatif qui lui n’a pas tant évolué en un siècle. Puisqu’à ce jour, nous nous apercevons que la capacité de logique et la créativité devraient être plus prises en compte pour tendre vers une société plus riche, et je ne parle pas uniquement sur l’aspect matériel. Mais bon, nous tentons de conserver la capacité d’analyse d’une certaine époque à une société qui devrait grandir. Certes, il y a des manières de penser qui nous ont permis d’atteindre une place nettement mieux qu’autrefois et selon le point de vue de notre espèce. Mais qu’en est-il de notre époque actuelle ? Les pensées dépassées devraient-elles toujours être d’actualité ? Voyez-vous, nous désirons voir notre monde s’améliorer sur tout point de vue, tout en confiant les rênes à des individus qui sont loin d’être considérés comme étant l’élite intellectuelle qui devrait ériger notre monde actuel.C’est pourquoi je ne m’attends pas à un avenir aussi sage que nous pouvions autant le prétendre.
 

 
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