LA LIBERTÉ - WEBSITE X5 UNREGISTERED VERSION - DOC.HELSON

Aller au contenu

Menu principal :

HUMANO > PHILOSOPHIE > ESSAIS 2021



LA LIBERTÉ




  Liberté limitée  

Le fait de découvrir d’autres cultures puis d’explorer d’autres horizons nous apporte tant de bénéfices, notamment sur les échanges de ressources intellectuelles avec nos semblables. Méprisant le fait que l’on devrait tous s’accorder à une seule et même façon de penser puis d’adopter une seule philosophie de vie commune, je pense que chaque société devrait être observée avec respect ainsi qu’attention, en négligeant le jugement de ses habitants. Certains seront des adeptes de la mode puis de la tendance, d’autres des artistes marginaux de pensée. Où que l’on aille nous trouverons, selon nous, des êtres intelligents puis des individus faibles d’esprit. Mais je suppose aussi que les normes sociales varient en fonction des zones où nous nous situons. Même au sein des pays occidentaux. D’après les recherches que j’ai pu effectuer durant mes voyages (sur le sol européen), puis par la comparaison des différentes sociétés que j’ai pu observer de par ma présence sur le site ou encore par l’acquisition de connaissances issues de certaines œuvres, qu’elles soient littéraires, rupestres, musicales ou encore cinématographiques, j’ai pu observer qu’il y avait de légères différences, liées à la façon de voir puis de comprendre le monde dans lequel nous évoluons.

Par exemple par l’observation d’une approche beaucoup plus responsable en ce qui concerne l’écologie d’un pays à un autre. Donc nous observons bien qu’à petite échelle, en l’occurrence au sein du continent européen, de légères différences existent qui peuvent être autant favorables que néfastes pour le bien commun. Qu’en serait-il à plus grande échelle ? Si nous désirons pratiquer les échanges d’idées, le partage de convictions voire de la perception à la visualisation d’un monde parfait sur le plan international… Le fait que nous nous levons le matin est certes lié à nos besoins vitaux, mais également à notre but ultime qui est étroitement lié à notre bonheur. Celui de nos proches puis pour les plus généreux d’entre nous, les plus altruistes, philanthropes, mener des actions pour veiller au bien-être d’autrui, sachant que je ne fais pas uniquement référence aux humains.

Il faut aussi prendre en compte l’environnement dans lequel nous évoluons, puisque ce dernier est très important pour notre bonheur. Nous sommes le résultat de l’environnement dans lequel nous nous sommes développés ainsi que des rencontres que nous y avions effectuées jusqu’à ce jour. Ainsi au sein d’une communauté(seine), le respect de l’autre doit impérativement faire partie de l’équation. Bien que je puisse paraître pour un idéaliste à de multiples occasions, je vais néanmoins tenter de rester réaliste aujourd’hui. La liberté est une merveilleuse chose certes, mais elle possède tout de même des limites. Bien que je ne sois pas très partisan des limites, des barrières ou des boucliers, puisque je suis de ceux qui pensent qu’il est plus sage de construire des ponts que de maintiens des frontières, je prends tout de même en considération une limite essentielle à la liberté qui se traduit par le respect de l’autre. Un univers où chacun à la possibilité de faire ce qu’il souhaite, est une utopie et doit le rester afin de veiller au maintien de la structure juridique où nous pouvons vivre à l’abri du danger, et où le confort y est présent. Pas pour tous certes, il est vrai qu’il y a encore beaucoup trop d’injustices qui subsistent dans ce monde...

L’établissement de lois, de règles, de promulgations pourrait nous paraître comme une éventuelle privation de liberté. Pour autant, leurs existences permettraient, tout de même de garantir un environnement fiable et sécurisant pour notre famille. Une liberté, certes qui se traduit par la possibilité de croire, de penser, de s’exprimer... Tout en veillant à ne pas nuire au bien commun. Mais encore faudrait-il savoir définir le bien commun ! Doit-il concerner notre famille ? Et encore, de laquelle pourrait-il s’agir ? De la biologique peut-être ? De notre sphère primaire ? Des citoyens avec lesquelles nous partageons la même nationalité ? Des religieux avec qui nous pouvons partager les mêmes croyances, ou bien la plupart des êtres rattachés à l’espèce humaine ? Non plus ? Les êtres membres du règne du vivant peut-être ? Évidemment je suis en faveur du respect de l’opinion d’autrui. Cependant, il y a une nuance entre la liberté personnelle et la nuisance à l’égard de l’autre. Ainsi, nous ne pouvons pas songer à établir une société sans une contradiction. Une contradiction au service du bien commun, selon laquelle une privation de liberté doit être établie afin de ne pas impacter ou entraver la liberté d’autrui.
LA QUÊTE DU BONHEUR

 
Retourner au contenu | Retourner au menu