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HUMANO > PHILOSOPHIE > ESSAIS 2019



LA THÉORIE D'HELSON




  La démographie  

De toute évidence, nous ne pouvons pas vivre dans un monde où le nombre d’individus de notre espèce croît de manière exponentielle. Habitant sur un territoire ayant des limites finies, notre nombre d’individus ne peut pas continuer d’accroitre au vu d’une catastrophe écologique et sociale qui résulterait de cet accroissement de la population. Notamment au sein d’un environnement peu organiser et où de nombreuses injustices subsistent toujours, sans compterle manque de sagesse présent chez nos gouverneurs. En d’autres termes, au sein d’une communauté le nombre d’individus devrait dépendre en partie des ressources existantes en ce lieu, bien qu’aujourd’hui certaines existences sont plus définies comme une ressource et non comme une richesse. Pour autant, face à ce genre de catastrophe, je ne pense pas qu’intervenir au sein de la démographie soit la priorité.
 
Il me semble plus logique d’intervenir sur les mentalités et les comportements afin de changer notre perception des autres et du monde dans lequel nous évoluons. Effectuer un tel travaille sur nous même, permettrait dans un premier temps de nous remettre en question, puis dans un second temps de continuer notre évolutiondavantage en lien avec l’amélioration, cette fois-ci de notre environnement. Mais en aucun cas celle qui est liée à notre accroissement de richesse matériel ni à la conquête de plaine inexplorée et habitée par certains êtres. Il serait préférable d’accroitre notre sagesse ainsi que notre respect envers les nôtres, puis à l’égard d’autrui. C’est pourquoi nous pourrons faire honneur à notre soi-disant sagesse, d’après notre nomination.
 
Ainsi, je pense qu’il est fondamental de redéfinir notre rapport au monde, puis la manière dont nous nous comportons au sein de notre quotidien. Déjà à l’égard de notre environnement, qui est d’ailleurs beaucoup trop anthropocentré. Puis envers nos biens en se contentant de ce que nous avons, au lieu de constamment acheter en participant massivement à la course de la super-consommation uniquement pour s’acheter une image comblant notre besoin de reconnaissance à l’égard d’autrui suite à l’acquisition d’un objet de marque par exemple. C’est pourquoi le fait de considérer un être pour ce qu’il est et non pour ce qu’il a, ne devrait pas être un comportement rare. Mais une mentalité partagée par la majorité d’entre nous. Au fil du temps, il serait important de prendre goût à la remise en cause de nos activités quotidiennes ainsi qu’à la prise de recul qui s’en suit. 


LE MONDE VA MAL

 
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